~Source: Research 1st, 1er février, 2013
Par Peter C. Rowe, MD, Kevin R. Fontaine, PhD et Rick L. Violand, PT
Dans la partie 1 de cette série de deux parties, nous avons expliqué les séries d'observations des patients avec le syndrome de la fatigue chronique qui nous a aidé à développer une nouvelle approche basée sur les avancés en neurophysiologie et les champs de la thérapie physique et de la médecine osthéopatique. Dans la partie 2, en dessous, nous expliquons notre recherche courante pour comprendre comment la thérapie manuelle pourrait compléter les autres approches pour traiter le syndrome de la fatigue chronique, incluant gérer l'intolérance orthostatique [3], pour combler le fossé entre la caractéristique empire les symptômes après l'exercice [4] et être capable de mieux tolérer l'activité.
Travail en cours
Sur la base des observations décrites dans la partie 1 [1] de cette série d'articles, notre recherche en cours a focussé sur la prévalence des régions adverses neurales et de la dysfonction du tissu mou chez ceux qui ont le syndrome de la fatigue chronique, et comment ces dysfonctions peuvent être traitées pour améliorer les symptômes à tous les jours. Notre hypothèse de travail est que les neurodynamiques diminués ensemble avec le mouvement des limitations associés avec les tissus mous peuvent contribuer à la persistance des symptômes dans la proportion des personnes avec le syndrome de la fatigue chronique. Les causes de cette dysfonction neurodynamique en général ne sont pas bien comprises, mais le tissu mou acquis et les dysfonctions neurales peuvent être le résultat d'un traumatisme physique cumulatif, de l'inflammation et d'autres événements dans le cours de la vie normale. Chez ceux à risque pour le syndrome de la fatigue chronique, ces nerfs et les dysfonctions du tissu mou, pourraient faire augmenter un système nerveux susceptible durant le temps précédent le début des symptômes. Notre modèle conceptuel propose que les symptômes du syndrome de la fatigue chronique pourraient augmenter ou s'aggraver une fois que le patient épuise son habileté à compenser pour le tissu mou pré-existant et les restrictions neurodynamiques, tel que ça pourrait arriver après une brève période d'inactivité relative suivant une chirurgie ou durant une maladie aigüe. L'étirement mécanique des tissus du nerf périphérique alors pourrait activer les neurones de la colonne vertébrale d'une manière analogue à la participation de la douleur d'une blessure aigüe, contribuant ainsi à la sensibilité du système nerveux central. La sensibilité centrale en retour s'attendrait à intensifier la sensibilité des nerfs périphériques pour plus de résistence.
Les patients avec des restrictions neurales et un tissu mou dans l'éventail observé chez ceux avec le syndrome de la fatigue chronique ont les pires symptômes après l'exercice. Nous nous interrogeons si ceci arrive comme conséquence de la tension mécanique répétitive exercé sur un système nerveux déjà beaucoup moins conciliant. Si oui, les neurodynamiques altérées pourraient être espéré pour interférer avec l'efficacité des programmes de réhabilitation appropriés basé sur l'exercice, et possiblement avec le symptôme basé médical et les interventions psychiatriques. Réciproquement, si les neurodynamiques anormales sont un facteur dans la pathogène des symptômes, traiter ces anormalités [6]seraient attendues pour mener à améliorer les réponses à un éventail d'interventions.
L'évaluation et le traitement des régions de la conformité du tissu mou et les neurodynamiques défavorables par les praticiens habileté manuellement en conjonction avec la gestion médicale compréhensive est devenue une importante partie de notre approche de traitement pour le syndrome de la fatigue chronique. Les buts d'un traitement avec la thérapie physique sont de minimiser les influences de ces régions de restriction du mouvement et d'optimiser le mouvement normal physiologique et ses comportements. Même si le but éventuel de la fonction d'améliorer la tolérance au travail est partagé à la fois l'exercice de base et les practiciens manuels, les practiciens manuels premièrement évaluent le pour et traite les dysfonctions somatiques qui contribuent au limite, au mouvement symptômatique, avant d'exposer le patient à progressivement plus d'activités énergiques. La restoration de la mobilité est essentielle pour la force optimale et l'endurance à l'entraînement et peut ne pas être inclus à une grande étendue des programmes d'exercice de base.
Avant de commencer l'évaluation, et au début et à la fin de chaque traitement, c'est aidant d'obtenir un classement de 0-10 sur les symptômes de la personne, e.g., la fatigue, le brouillard cognitif, le vertige, la nausée, le reflux, la transpiration et le rinçage, les changements dans la vision, le mal de tête ou tout autre symptôme. C'est aussi aidant de savoir lesquels sont primaires, et la suite dans laquelle les symptômes sont expérimentés. Comme l'essai est effectué sur un système sensible, la personne et le médecin peuvent chacun avoir une appréciation immédiate pour la génération du symptôme et son examen correspondant de la manoeuvre ou de la position. Plus tard, les techniques de l'application du traitement peuvent être plus spécifiques et peuvent être guidées par la remarque du patient et ainsi, être moins probable de créer un crescendo des symptômes. Dû à la sensibilité du système nerveux central renforcé et des tissus mous en général avec les personnes avec le syndrome de la fatigue chronique, une douce manutention des parties à être examinées et traitées est la clé [7] pour le résultat du succès. Si les parties sont prises par de trop grand mouvement d'arc, si une mauvaise position est utilisée dans l'examen ou le traitement, ou si les techniques du traitement sont directes ou demandent trop de résistance, les symptômes sont probables à être très vite provoqués ou aggravés dus à la tension défavorable. La durée de l'examen et l'étendu auquel le clinicien travaille pour reproduire les symptômes va grandement affecter les symptômes de la personne, soit ceux notés immédiatement ou ceux avec un début retardé. Il y a très souvent une très ligne mince entre avoir la réponse qu'on a besoin et complètement en faire trop, après que c'est presque impossible de continuer avec l'examen ou le traitement. L'examen provocationel répété ou l'application des techniques directes qui augmentent les tensions du tissu ont des effets cumulatifs. Les examens et la manutention devraient être appliqués brièvement, spécifiquement et fait seulement au point de générer l'effet recherché après la réponse. Durant le traitement, utilisez des méthodes directes, ou celles qui imposent un étirement ou un mouvement dans le tissu de résistance devraient être généralement évités, excepté dans les examens de provocation pour noter le statut initial après le traitement. Ces méthodes incluent de diriger le muscle entier et l'étirement myofascial et diriger la jointure et les techniques de neuromobilisation. L'approche du traitement préféré utilise une méthode indirecte. Au contraire des techniques directes, des techniques indirectes sont doucement appliquées dans la direction opposée de la barrière du mouvement, ceci est, à une position de grande facilité ou de tension de la membrane balancée. Cette méthode de traitement diminue la tension dans les tissus irrités et minimise le risque de les sensibiliser plus, encourage un changement fonctionnel efficace. Les exemples de ces techniques indirectes incluent le relâchement myofascial dans la direction de soulager, la technique fonctionnelle et la tension et la contre tension. Le déclenchement et les techniques cranio-sacrales, des techniques très subtiles, peuvent être soit directes ou indirectes; une application prudente et spécifique de ces méthodes peut fournir d'excellents résultats.
Comme les mouvements et les positions qui provoquent ou aggravent les symptômes sont découverts et traités [8], on devrait enseigner à la personne comment reconnaître quand il ou elle rencontre ces mouvements ou postures dans la vie de tous les jours et comment les modifier afin de minimiser leur impact sur la production du symptôme. Un exemple d'une découverte commune est la dorsiflexion de la cheville droite ou la flexion de la hanche droite de 70 degrés est un symptôme commun d'aggravation. Comme ces découvertes sont traités manuellement, l'enseignement peut être donné au sujet de la modification de la posture assise afin que les pieds ne soient pas repliées sous les chaises afin de prévenir la dorsiflexion de la posture excessive et le prolongement du tissu mou ou le chargement neural. , Suivant cette même ligne de pensée, portez des souliers avec un talon 1/2” à 3/4? Les positions de la cheville dans la posture de la dorsiflexion est diminuée et ainsi produit moins de pression durant la station debout ou quand on se retourne quand on marche. Marcher nu pieds ou avec des babouches ou avec des sandales à talons plats est déconseillé. La restriction de la flexion de la hanche est gérée de la même manière. On devrait enseigner à la personne à s'asseoir sur un banc ou s'asseoir sur une chaise ou dans l'auto avec le dossier incliné pour mieux accommoder les 70 degrés de mouvement disponible de l'éventail. Ceci préviendrait un soutien significatif du tissu mou chargeant dans les 90 degrés ou plus de flexion de la hanche qui pourrait autrement insidieusement augmenter les symptômes. Ceci est un problème fréquemment rencontré à l'école ou pendant l'étude au bureau. Si non apprécié, ces situations peuvent sans le savoir contribuer à la nature persistente de la fatigue et du brouillard cognitif. Un retour progressif aux activités répétitives et résistantes est aussi essentiel dans le but de développer une amélioration graduelle mais une tolérance améliorée pour les demandes de l'activité journalière avec la possibilité de reprendre les classes à la maison ou à l'école ou faire des tâches reliées au travail. Cet objectif peut être obtenu avec ceux dont les tensions du tissu mou et neurales commencent à diminuer, qui modifient à tous les jours, les activités de l'exercice et qui ont une bonne gestion médicale. Dans la pratique clinique, la méthode de traitement qui a été décrite en haut apparaît améliorer la tolérance à l'exercice et à diminuer la fréquence et l'intensité de plusieurs symptômes avec le syndrome de la fatigue chronique.
Nous continuons notre étude [9] du rôle de la restriction du tissu mou, et du tissu nerveux en particulier, pour ajouter une meilleure précision à notre diagnostique et à notre approche. C'est notre attente qu'une approche manuelle douée à l'évaluation va fournir des prédicteurs améliorés pour plusieurs composantes avec le syndrome de la fatigue chronique et qu'une approche manuelle pour le traitement va compléter les interventions médicales et chirurgicales et mener à un confort plus complet et durable et au fonctionnement.
Peter C. Rowe, M.D., est professeur en pédiatrie à Johns Hopkins Children’s Center où il dirige la clinique de la fatigue chronique. Kevin R. Fontaine, Ph.D., est un professeur à l'University de Alabama à Birmingham; et Richard L. Violand, Jr., est un thérapeute physique en pratique privée à Violand and McNerney Physical Therapists, à Ellicott, MD. Dr. Rowe projet de recherche, Neuromuscular Strain in CFS, a des fonds du CFIDS Association of America sous sa Research Institute Without Walls. Dr. Rowe faisait partie de l'équipe à Johns Hopkins qui était le premier à identifer l'intolérance orthostatique comme une clé caractéristique du syndrome de la fatigue chronique. Il a soigné des patients avec le syndrome de la fatigue chronique dans sa pratique médicale et a mené une recherche sur le syndrome de la fatigue chronique depuis presque 20 ans.
Source: Research 1st, 1er février, 2013
Traduit par Louise
Rochette
Email: LouiseRochette@gmail.com