Un chemin radical de soins pour le ME/SFC
Par Nancy
Blake • www.ProHealth.com
• 20 mars, 2014
Réimprimé avec la permission de NHS
Manager’s Network.
Par Nancy Blake
Basé sur l'hypothèse que si une maladie est définie par le
fait que l'exercice la rend pire, peut être que ceci serait un point de
départ pour la gérer!
Un diagnostique immédiat par l'entrevue initiale minitieuse; si les patients
rapportent un niveau extraordinaire de faiblesse suivant une maladie virale,
laquelle a persisté -- qui a d'autres symptômes qui semblent au hasard et
variables mais peuvent être compris comme problèmes du métabolisme
musculaire, la fonction cognitive (problème à court terme de mémoire,
difficulté à suivre les lignes de raisonnements), la fonction endocrinienne
(perturbations de l'appétit, des rythmes du sommeil, du règlement de la
température) et de l'activité du système immunitaire (les glandes
lymphatiques endolories, une faible fièvre persistante, la gorge irritée),
ces points de constellation entiers au ME/SFC.
On devrait regarder ceci comme une urgence médicale, parce que le
comportement du patient dans les stages tôt déterminent soit un chemin vers
la guérison ou un chemin vers des états extrêmes et l'incapacité dure. (1)
La prescription de base devrait être d'aller à la maison et de se coucher;
seulement faire le minimum d'exercice nécessaire pour prévenir DVT
(thrombose veineuse profonde) se lever pour aller à la toilette pourrait
être assez!).
Les familles ont besoin d'une explication que pour le patient, minimer
l'effort physique est essentiel. Une visite à la maison d'une équipe de
physiotérapeute/ergothérapeute peut fournir un avis au sujet des tâches
journalières utilisant un minimum d'exercice musculaires, comme le conseil
donné aux personnes souffrantes avec la sclérose en plaques pour gérer leur
épuisement. L'ergothérapeute devrait évaluer la maison et recommander/
fournir du support approprié pour toutes maladies physiques qui causent une
faiblesse extrême. Le patient va avoir besoin d'un support psychologique
pour accepter que le "l'inopportun!" l'acceptation d'un style de vie
d''invalide' est la façon de 'combattre' la maladie et de faciliter un retour
graduel à une vie normale aussitôt que possible. Après ça, une visite
régulière d'un travailleur clé sauvegardé en-ligne par un support en-ligne
peut être tout ce que le patient a besoin pendant qu'il consacre son énergie
à être mieux.
Ce qui ne devrait absolument pas arriver est une hospitalisation,
à moins que ce soit pour fournir une période complète de repos au lit. Les
examens pour éliminer d'autres diagnostiques potentiels devraient être fait
à la maison aussi proche que possible. Les centres chers qui ont été
installés, demandant aux patients d'assiter dans le but d'engager un effort
physique extra (seulement se rendre à un rendez-vous à l'hôpital est assez
pour anéantir un patient avec le ME/SFC pendant des journées) devraient
être remplacé par ces services à domicile moins chers.
Loin d'encourager à garder le repos, et d'encourager les membres de la
famille à apprécier que ceci est un besoin, le patient devrait être laissé
seul, avec beaucoup de temps pour être mieux. Sous ce régime, une
amélioration graduelle est attendue (les enfants d'âges scolaires devraient
avoir une éducation à la maison jusqu'à ce que retourner à
l'école devienne une possibilité).
Quand le patient est prêt, il devrait y avoir des interventions à
l'institution/endroit de travail du patient qui vise à éliminer tout effort
physique évitable. Avec des installations pour des pauses et peut être être
capable de faire du travail à partir de la maison, ceci donne au patient la
meilleure chance de retourner à son éducation, à son travail ou à ses activités
professionnelles. Contrairement aux 'croyances fausses de la maladie' de
certains psychiatres, c'est ce que les patients sont désespérés à faire.
Ça a besoin de respecter que cette maladie n'en est pas une de
motivation: 'Je ne peux pas' ne veut pas dire 'Je ne veux pas', ça veut dire
qu'il y a une limite physique à ce que le patient peut faire sans avoir de
répercussions sérieuses ensuite.
Les médecins assez braves pour utiliser cette approche 'douce' seraient
récompensés par des relations positives avec leurs patients, et l'espoir de
les voir aller mieux au lieu d'empirer. Mais ça prendrait un réel courage
pour défier les mythes culturels que 'combattre' la maladie est la seule
façon de faire, que l'exercice est bon pour absolument tout, et que les
personnes qui ont le ME/SFC ne veulent pas aller mieux, et doivent être
persuadées ou forcées à faire de l'activité. Contre-intuitivement, traiter
les patients avec le ME/SFC comme des invalides initialement est la procédure
la plus probable de maximiser le "retour à la fonction'.
Le modèle psychiatrique actuel n'a aucune façon de reconnaître
l'échec du traitement -- l'échec peut toujours être blâmé sur le patient.
Ce n'est pas étonnant qu'il y a tant d'hostilité. C'est le temps de faire la
différence, d'accepter que les patients disent la vérité, et de commencer
à leur donner une chance d'aller mieux.
Référence
1. www.name-us. Melvin Ramsay. name-us.org. [Online]
[Cited: 3 October 2013.] “K Le degré de l'incacité physique varie
grandement, mais la caractéristique dominante clinique de la fatigue profonde
est directement reliée à la longueur du temps que le patient persiste avec
l'effort physique après son début; dit d'une autre façon, ces patients à
qui l'on donne une période de repos imposée au début ont le meilleur
prognostique de guérison."
“…chez ces patients dont la dynamique ou le tempérament consciencieux les
incite à continuer l'effort malgré le malaise profond ou chez ceux qui, ont
eu une mauvais diagnostique de 'névrose', ont été exorté de 's'en sortir'
et de 'faire beaucoup d'exercice' la condition a eu finalement comme résultat
un état d'épuisement constant."
Nancy Blake is author of ‘A Beginner’s Guide to CFS/ME’, and
co-author, with Les Simpson, Ph.D. of ‘Ramsay’s Disease – ME’. She
is currently undertaking a Ph.D. project at Lancaster University on the
conflicting paradigms of ME/CFS. A Beginner’s Guide to CFS/ME
Traduit par Louise
Rochette
Email:
LouiseRochette@gmail.com