NEW YORK (27 février, 2015)—Les chercheurs au Center for Infection and
Immunity at Columbia University’s Mailman School of Public Health ont
identifié les changements immunitaires chez les patients diagnostiqués avec
le syndrome de la fatigue chronique, connu médicalement comme
encéphalomyélite myalgique (EM/SFC) ou une maladie d'intolérance
systémique d'épuisement. Les découvertes pourraient aider à améliorer le
diagnostique et à identifier les options de traitement pour le désordre
invalidant, dans lequel les symptômes varient d'extrême fatigue et de la
difficulté à se concentrer aux maux de tête et à la douleur musculaire.
Ces signatures immunitaires représentent la première preuve
évidente robuste physique que le EM/SFC est une maladie biologique aussi
opposé à une maladie psychologique, et la première preuve que la maladie
a des étapes distinctes. Les résultats apparaissent en-ligne dans le
nouveau journal American Association for the Advancement of Science
journal, Science Advances.
Avec le financement pour supporter les études des
mécanismes immunitaires et infectueux de la maladie de la Chronic Fatigue Initiative of the Hutchins Family
Foundation, les chercheurs ont utilisé des méthodes testant l'immunologie
pour déterminer les niveaux de 51 biomarqueurs immunitaires dans le sang
des échantillons plasma collectés à travers deux multi-centres d'études
qui ont représenté un total de 298 patients avec le EM/SFC et 348
contrôles santé. Ils ont trouvé des modèles spécifiques chez les
patients qui avaient la maladie depuis 3 ans ou moins qui n'étaient pas
présents chez les contrôles ou chez les patients qui avaient la maladie
pour plus de trois ans. Les patients avec une courte durée avaient
augmenté les quantités de plusieurs sortes de molécules immunitaires
appelés cytokines. L'association était anormalement forte avec le cytokine
appelé interféron gamma qui a été lié à la fatigue qui suit plusieurs
infections virales, incluant le virus Epstein-Barr (la cause des infections
de la mononucléose). Les niveaux de cytokine n'étaient pas expliqué par
la sévérité du symptôme.
“Nous avons maintenant la preuve confirmant ce que des millions de
personnes avec la maladie savent déjà, que le EM/SFC n'est pas
psychologique," affirme le célèbre auteur Mady
Hornig, MD, directeur de la recherche multinationale au Center for Infection
and Immunity et professeur associé de l'Epidemiology at Columbia’s Mailman
School. “Nos résultats devraient accélérer la procédure d'établir le
diagnostique après que les individus tombent malade aussi bien que la
découverte des stratégies d'un nouveau traitement focussant tôt sur ces
marqueurs de sang."
Il y a déjà les anticorps humains monoclonals sur le marché
qui peuvent saper les niveaux d'une cytokine appelée interleukin-17A qui est
parmi celles que l'étude montre étaient élevés chez les patients au début de la maladie.
Avant que tout médicament puissent être testé dans un essai clinique, Dr. Hornig
et ses collègues espèrent reproduire les résultats actuels,
double-aveugle dans une étude longitudinale qui suit les patients pendant
une année pour voir comme les niveaux de cytokines, incluant
l'interlukin-17-A, diffèrent d'un individu à l'autre au fil du temps,
Bloqué sur la grande vitesse
L'étude supporte l'idée que le EM/SFC peut refléter un
événement infectueux de "délit de fuite". Les patients
rapportent souvent tomber malade, quelquefois de quelque chose aussi commun
comme la mononucléose infectueuse (virus Epstein-Barr), et jamais
récupérer complètement. La nouvelle recherche suggère que ces infections jettent une clé
dans l'habilité du système immunitaire à se calmer après
l'infection aigüe, pour retourner à un équilibre homéostatique; la
réponse immunitaire devient comme une auto bloquée en haute vitesse. Il apparaît
que les patients avec le EM/SFC sont chassés avec les cytokines jusqu'à un
marqueur de trois ans, auquel point le système immunitaire montre la preuve
de l'épuisement et de la baisse des niveaux de cytokine" dit le Dr.
Hornig. “Le diagnostique tôt peut fournir des chances pour le traitement
qui diffère probablement de ceux qui seraient appropriés de ceux qui
seraient appropriés dans des phases plus tard dans la maladie.”
Les chercheurs sont allés loin pour protéger les
participants pour être certain qu'ils avaient la maladie. Les chercheurs
ont aussi recruté de plus grands nombres de patients dont le diagnostique
était relativement récent. Les niveaux de stress des patients
étaient standardisés; avant chaque prise de sang, on demandait aux patients
de compléter les papiers standardisés, en partie pour engendrer la
fatigue. Les scientifiques aussi ont contrôlé les facteurs connus pour
affecter le système immunitaire, incluant le temps de la journée, la
saison et la location géographique où les échantillons ont été prises,
aussi bien que l'âge, le sexe et l'ethnicité.
En 2012, W. Ian Lipkin, MD, directeur du Center for Infection and
Immunity, et ses collègues ont rapporté les résultats d'une étude
multicentre qui définitivement exclut deux virus pensé être impliqués dans
le EM/SFC: XMRV (virus de la leucémie [MLV]-relié et les séquences comme
le rétrovirus murine (designé pMLV: polytropic MLV). Dans les semaines qui
viennent, Drs. Hornig et Lipkin s'attendent à divulguer les résultats
d'une seconde étude du fluide cérébrospinal des patients avec le EM/SFC.
Dans plusieurs études séparées en cours, ils regardent pour "les
empreintes moléculaires" des agents spécifiques derrière la maladie
-- soit viraux, bactériels, ou fongiques -- aussi bien que longitudinal
regarde à comment les modèles de plasma cytokine changent chez les
patients avec le EM/SFC et les contrôles pendant une période d'un an,
comme noté ci-haut.
“Cette étude distribue ce qui nous a déjoué pendant si longtemps: une
preuve sans équivoque de la dysfonction immunologique chez le EM/SFC et le
diagnostique des biomarqueurs pour la maladie," dit l'auteur sénior W. Ian Lipkin, MD,
aussi le John Snow
Professor of Epidemiology at Columbia’s Mailman School. “La question que
nous sommes en train d'essayer de répondre au projet parallèle microbiome
est qu'est-ce qui déclenche cette dysfonction."
Les co-auteurs incluent Andrew F. Schultz, Xiaoyu Che, et Meredith L. Eddy
au Center for Infection and Immunity; Jose G. Montoya à Stanford
University; Anthony L. Komaroff at Harvard Medical School; Nancy G. Klimas
at Nova Southeastern University; Susan Levine à Levine Clinic; Donna
Felsenstein à Massachusetts General Hospital; Lucinda Bateman à Fatigue
Consultation Clinic; et Daniel L. Peterson et Gunnar Gottschalk à Sierra
Internal Medicine. Les auteurs ne rapportent aucun intérêts en concurrence.
Le support pour l'étude a été fourni par le Chronic Fatigue Initiative of the
Hutchins Family Foundation et le National Institutes of Health (AI057158;
Northeast Biodefense Center-Lipkin).
Au sujet du Columbia University’s Mailman School of Public Health
Fondé en 1922, Columbia University’s Mailman School of Public Health
poursuit un agenda de recherche, d'éducation, et le service pour répondre
aux problèmes de santé publique critiques et complexes affectant les New
Yorkais, la nation et le monde. Le Mailman School est le troisième plus
grand récipiendaire des subventions NIH entre les écoles de santé
publique. C'est plus de 450 membres multi-disciplinaires de membres de
faculté travaillant dans plus de 100 pays autour du monde, supervisant de
tels problèmes comme prévenir les maladies infectueuses et chroniques, la
santé environnementale, la santé maternelle et de l'enfant, la politique
de santé, le changement de climat et la santé, et la santé publique était
de préparation. C'est un meneur dans l'éducation de la santé publique
avec plus de 1 300 étudiants gradués de plus de 40 nations poursuivant une
variété de maîtrises et de programmes de doctorat. Pour plus
d'information, s.v.p. visitez www.mailman.columbia.edu.
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Media contact: Tim Paul, Columbia University’s Mailman School of Public
Health, 212-305-2676 or tp2111@columbia.edu.