Guide de ressource d'information sur le syndrome de la fibromyalgie


Quelles recherches sont faites sur le
syndrome de la fibromyalgie?


La recherche est la clé pour trouver à la fois l'étiologie et la cure potentielle pour le syndrome de la fibromyalgie. Cette page explique dans les grandes lignes certaines recherches qui sont conduites présentement et qui promettent.

Des produits chimiques du cerveau et neurohormones

Nous savons que le syndrome de la fibromyalgie comporte une perte de la régularisation de la douleur dans le système nerveux central (CNS) qui à son tour cause une amplification de la douleur. Une stimulation excessive de la douleur par la suite conduit à des niveaux anormaux du système nerveux central des neurotransmetteurs comme la sérotonine, la norépinéphrine et la Substance P qui permet aux nerfs de transmettre les signaux au cerveau. Ces neurotransmetteurs désiquilibrés causent à leur tour des problèmes avec la réponse hormonale du corps au stress (i.e., des niveaux inappropriés de cortisol, les catecholamines, l'hormone de croissance et possiblement les hormones de la thyroïde) ce qui causent des anormalités dans le système nerveux autonome, le système qui régularise les fonctions involontaires telles que la pression sanguine et le fonctionnement de l'intestin. De telles anormalités semblent contribuer au syndrome de l'intestin irritable, possiblement modère l'hypotension (une basse pression sanguine), le syndrome de l'intestin irritable, des maux de tête vasculaires, de la fatigue chronique et des désordres de sommeil non-réparateur.

Certains chercheurs principaux sur le syndrome de la fibromyalgie dans ce pays, tel que I. Jon Russell, M. sont à travailler sur l'identification des anormalités biochimiques et à déterminer comment elles affectent le syndrome de la fibromyalgie.

Une amplification modifiée de la douleur

Le modèle du Dr. Karl Henriksson pour comprendre la fibromyalgie est basé sur la douleur et ses effets. La fibromyalgie est une combinaison d'une condition d'une douleur chronique et un syndrome de stress chronique et les deux syndromes ensembles peuvent être considérés comme une maladie de douleur.

Il y a une grande variété de preuve que les mécanismes de la sensibilité à la douleur sont changés chez les patients.

Dr. Karl Henriksson a expliqué la relation entre la douleur et le syndrome de stress qu'il croit plusieurs sensations des autres symptômes et les anormalités de laboratoire avec le syndrome de la fibromyalgie., "Un signal de douleur amplifiée et plus ou moins continuelle constitue un facteur de stress continue . L'adaptation à ce stress peut conduire soit à une augmentation de réponse au stress ou une réponse déficiente adaptée du système de la régularisation du stress [tel que le système endocrinien et les systèmes nerveux autonomes]".

Neuroendocrine (HPA-axe ~ hypothalamus/hypophyse/surrénal)

Leslie Crofford, M.D., a décrit les anormalités de l'hypothalamus/hypophyse/surrénal en réponse au stress. Dans sa recherche, elle va mettre en corrélation la fonction cognitive des patients avec la fibromyalgie avec des mesures de la fonction neuroendocrine. Une thèse de base avancée est que les sujets contrôlés peuvent avoir les deux fonctions similaires cognitive et neuroendocrinienne semblable aux sujets qui sont âgés de 20 et 30 ans plus vieux. En effet, un examen cognitif avec des patients avec le syndrome de la fatigue chronique révèle des changements semblables à ceux vus sur des sujets avancés en âge chronologique. Dans deux expériences, les patients avec la fibromyalgie seront comparés selon des contrôles égalant l'âge et l'éducation, comme l'éducation égalée aux adultes plus âgés. La fonction neuroendocrinienne sera mesurée aussi, comme la dépression, la douleur, le gras et les croyances de la fonction au sujet de la mémoire.

Cette approche permet une détermination quant à savoir s'il y a des différences avec la fonction cognitive des patients avec la fibromyalgie comparés aux autres, et si c'est un bonne façon pour comprendre les effets cognitifs de la fibromyalgie. En plus, et peut être plus important, l'intégration d'une approche cognitive avec une approche neuroendocrinienne va nous permettre de déterminer quels mécanismes d'importance des différences cognitives - neurochimiques, psychiatriques, ou de la douleur expérimentée et la fatigue. Connaissant les mécanismes sous-jacents observés avec les déficits cognitifs ont des implications importantes pour le traitement du désordre autant que la compréhension de l'étiologie.

Des niveaux bas d'un facteur de croissance (IGF-1) une balise de sécrétion pour les niveaux bas d'hormone de croissance (GH)

De bas niveaux d'insuline comme le facteur de croissance(IGF-1), un substitut correcteur pour un taux bas d'hormone de croissance (GH) la sécrétion, arrive chez un tiers de la population [fibromyalgique] intraitable qui ont plusieurs caractéristiques de déficience d'hormone de croissance, telle qu'une diminution d'énergie, dysphoria, une cognition diminuée, une pauvre santé en général, une réduction dans la capacité de l'exercice, une faiblesse musculaire, et une intolérance au froid. Pour déterminer si une production d'hormone de croissance sub-optimale pourrait être appropriée à la symptômalogie de la fibromyalgie, les effets cliniques du traitement avec l'hormone de croissance ont été évalués.

EMG (électromyogramme) - des injections guidées d'un point déclencheur

David Hubbard, M.D., a décrit l'utilisation du EMG (électromyogramme) des injections guidées d'un point déclencheur comme une technique pour améliorer l'efficacité des injections d'un point déclencheur standard. Il a aussi documenté l'utilisation expérimentale d'une médication de phenoxybenzamine dans les injections qui ont fait disparaître avec succès les points déclencheurs jusqu'à deux ans, une amélioration énorme sur la médication courante qui soulage pour à peu près une semaine. Une thérapie au laser infrarouge peut aussi être efficace et sécuritaire dans le traitement des points déclencheurs.

EEG (électroencéphalogramme) traces caractéristiques de la fibromyalgie

Stuart Donalson, Ph.D., a décrit qu'une trace d'ondulation du cerveau avec un EEG(électroencéphalogramme) est un tracé caractéristique pour la fibromyalgie. Son étude récente dans le Canadian Journal of Clinical Medicine (juin 1998) montre que les patients avec un dysfonctionnement cognitif (i.e., problèmes à se rappeler les choses qui comportent seulement une mesure) ou la "fibro-confusion" s'est améliorée avec sa thérapie de photostimulation en plus, le tracé d'ondulations du cerveau avec EEG est revenu à la normale. Si une autre recherche est capable de copier ce qu'a trouvé Donaldson, ceci va représenter une découverte réelle avec le syndrome de la fibromyalgie. Nous aurons à ce moment-là un autre examen objectif spécifiquement pour le syndrome de la fibromyalgie.

Une compression de la colonne vertébrale (une sténosis cervicale et des malformations au chiari)

Dr. Michael Rosner, un neuro-chirurgien, a étudié les effets de la compression de la colonne vertébrale et la fibromyalgie. Ce que le Dr. Rosner a trouvé a incité le NFRA de fournir des fonds pour une étude pilote, sur la surveillance de la compression de la colonne vertébrale. Des chercheurs sur la fibromyalgie, le Dr. Robert Bennett de Oregon Health Sciences University, le Dr. I Jon Russell de University of Texas Health Sciences University, Dr. I. Jon Russell de University of Texas Health Sciences at San Antonio, et le Dr. Dan Clauw de Georgetown University vont être en charge de la recherche. L'étude, consultée et coordonnée par le Dr. Rosner, se compose de patients diagnostiqués récemment avec la fibromyalgie qui suivent un examen neurologique et un MRI pour constater s'il y a une compression de la colonne vertébrale qui est présente. Le but de cette étude est pour déterminer le poucentage de patients diagnostiqués avec la fibromyalgie qui ont cette condition médicale.

FMS Research Abstract










Traduit par:

Louise Rochette Louise
Email: LouiseRochette@gmail.com