Histoire de Patty

Quelquefois Patty ne sait pas rire ou pleurer quand un de ses trois enfants vont la voir pour une caresse. Elle aime l'affection, mais lever ses enfants tout le temps est un problème que la professeure de 3ième année de 33 ans a à cause de la douleur au dos. Elle essaie de sourire et rappelle gentiment à ses enfants de caresser maman avec leurs pieds sur le sol.

Patty se sent très bien la plupart des journées, même avec un mal de dos qui va et vient. "J'ai appris depuis les dernières années d'essayer de focusser sur ce que je peux faire. Je suis chanceuse que ma douleur est seulement tenace, non débilitante. Mais encore, elle peut me rendre réellement grincheuse avec mes enfants à la maison et avec mes enfants à l'école."

Patty a fait certaines lectures sur la connection du corps-esprit. Elle a appris que les choses qu'elle se dit au sujet de ce qui se passe dans sa vie et comment elle se sent à ce sujet peut rendre sa douleur pire ou mieux. Elle dit qu'"Alors, je travaille vraiment à trouver les bonnes choses dans ma journée. Ça m'aide à passer au travers de la journée, et je pense que ça fait que ma douleur ne me bâdre pas autant."

Arrêtez les pensées négatives pour diminuer la douleur

Elle marche beaucoup, nage et fait de l'exercice pour son dos. Et maintenant elle s'assoie près de ses enfants quand ils veulent une caresse. Mais Patty aussi travaille à penser d'une façon positive.

Patty dit: "J'avais l'habitude de me sentir découragée à tout moment quand mon dos me faisait mal. Je me disais que jamais il serait mieux."

Elle a appris à remarquer quand elle avait ces pensées négatives. "Je me prenais à penser, 'Pourquoi que je fais de l'exercice? La douleur va revenir." Mais au lieu de garder cette forme de pensées, je me disais l'exercice a aidé mon dos avant. Je sais qu'il va rendre mon dos plus fort si je ne lâche pas. '"

Elle a aussi commencé à utiliser un élastique pour l'aider à "se secouer" d'une pensée négative. Pendant un moment, Patty portait l'élastique autour de son poignet. Quand elle se prenait à dire quelque chose de décourageant au sujet de sa douleur, elle saisissait l'élastique et pensait en elle-même, "Arrête." Elle l'a fait assez que maintenant elle dit seulement "arrête" sans utiliser l'élastique.

Elle dit que:"C'est une petite chose. Mais ça m'aide à être consciente de ce que je me dis. Ça m'aide à ne pas m'étendre sur le négatif tout le temps. J'ai encore de mauvaises journées. Mais je n'en ai pas autant que j'en ai déjà eues. Et je me sens plus en contrôle de mes pensées, de ma douleur et de ma vie."

Cette histoire est basée sur l'information ramassée de plusieurs personnes ayant un problème de santé.

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Dernière mise-à-jour le 1 mars, 2011
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