Le cerveau en douleur: déchets ou dessert?


The Brain in Pain: Garbage or Dessert?. Image by
Image de "Victor Habbick" courtoisie de FreeDigitalPhotos.net
Réimprimé avec la permission de Celeste Cooper, RN.

La neuroscience suggère que la conversation que nous avons au sujet de notre douleur affecte comment notre cerveau réagit à la douleur. Bien sûr, nous ne pouvons pas avoir une pensée positive avec des douleurs de la migraine intraitable, ni ne pouvons nous attendre à avoir une crise significative de toute condition de douleur chronique. Cependant, nous pourrions vouloir considérer les déchets que nous lançons à notre cerveau quand notre douleur n'est pas traitée suffisamment.

Dans toute la gloire cérébrale qu'il peut regrouper, le cerveau essaie de s'occuper de la douleur avec ses façons hatibuelles. Que la douleur soit aigüe ou chronique, le cerveau est affecté par nos jugements et nos sentiments. Il y a une structure dans le cerveau appelé le système lymbique, lequel est en charge de ce phénomène. Étant une infirmière à l'urgence, j'ai été témoin des différentes réactions des patients avec ses blessures. Ceux qui ne catastrophent pas avec leur blessure ont tendance à aller mieux. Quand nous expérimentons personnellement une blessure, nous résistons à la tentation de regarder parce qu'une fois que nous le faisons; nous savons que nous allons réaliser que la douleur y est associée.

Quel choix pensez-vous que notre cerveau ferait s'il avait le choix de communiquer avec Debbie ou Dog Downer comparé à Mahatma Gandhi, Maya Angelou, ou Helen Keller? Déjà bombardé par les messages de la douleur, la dernière chose que notre cerveau veut entendre est un dialogue négatif au sujet de comment quelque chose est devenue affreux . Nous avons la chance de reprogrammer nos sentiments et notre cerveau. C'est aussi simple, et aussi compliqué, que ça.

Un grand soin doit être prodigué au patient avec de la douleur. La douleur est très réelle à ceux d'entre nous qui l'expérimentons et il y a des moments où la douleur est le patron, peu importe si nous aimerions mieux autrement. Quelquefois, les médecins deviennent partie du casse-tête émotionnel des patients à cause de la douleur expérimentée. C'est une attente légitime de faire valider notre douleur ainsi que notre propre expérience personnelle et nos réactions à vivre avec la douleur chronique. Quand nous sentons qu'on nous manque de confiance ou que nous pensons pouvoir envoyer le problème qui nous cause notre douleur en premier, alors le dialogue négatif commence. Nous ne devons pas laisser ça arrivé: explorons de nouvelles relations. Nous méritons tous d'être traité avec la même gentillesse que je suggère que nous donnons à votre corps.

Je vais adopter un dialogue plein d'égards avec mon corps parce qu'"il ne peut pas faire mal." Quelle métaphore. Attention cerveau, voici le dessert.


Source: TheseThree.com, Blogue posté 22 février, 2014.

Au sujet de l'auteure: Celeste Cooper est une infirmière à la retraite, éducatrice, patiente en fibromyalgie, et auteure de Broken Body, Wounded Spirit, Balancing the See Saw of Chronic Pain, Fall Devotions séries dévouées (coauteur, Jeff Miller PhD), et Integrative Therapies for Fibromyalgia, Chronic Fatigue Syndrome, and Myofascial Pain: The Mind-Body Connection (coauteur, Jeff Miller PhD) Elle est experte en fibromyalige pour Dr. Oz, et al., à Sharecare.com, et elle supporte tous les patients avec une douleur chronique comme une participante à  Pain Action Alliance to Implement a National Strategy. Vous pouvez lire plus sur son information éducationnelle et ses livres sur son site internet,  TheseThree.com.





Traduit par Louise Rochette Louise
Email: LouiseRochette@gmail.com