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INTOLERANCE A LA CASEINE
L'intolérance au lait
Le lait de vache et le blé sont tous les
deux relativement nouveaux si l'on se place à l'échelle de l'évolution de
l'être humain. Nos ancêtres les ont probablement utilisés pour la première
fois comme aliments.. il y a 10'000 ans... Avant cela nos prédécesseurs se
nourrissaient de tout un éventail de plantes sauvages, de poissons,
d'animaux et d'insectes. Le lait de vache et les semences de cette plante
domestiquée (blé) se sont déplacés avec les envahisseurs durant les
migrations. La plupart des indigènes en Europe n'étaient pas
biochimiquement adaptés à se nourrir de ces nouveaux aliments. Ils ne
supportaient pas bien ce genre de régime et beaucoup moururent. Avec comme
résultat que les gènes associés à la sensibilité au gluten venant des
envahisseurs diminuèrent dans la population. (Dr. Shaw, ibid)
Le lait de vache est de par sa nature
incompatible avec le système enzymatique humain, bien que le corps fasse
son maximum pour l'assimiler. Toutefois, actuellement il serait
illusoire de penser que notre lait si blanc et contemporain soit le même
que celui dont profitaient nos ancêtres.
Il est capital à ce stade de rappeler
que la généabiologie permet de mettre en évidence une fragilisation
transgénérationnelle, ce qui explique la récurrence des problèmes
d'intolérances et d'allergies dans les familles.
A cause des effets du non respect de
l'environnement (pollution des usines, voitures, avions, incinération des
déchets produisant la dioxine, incinération des défunts ayant des
amalgames au mercure). Tous ces polluants, sous forme de vapeurs, vont
directement dans l'herbe broutée par les ruminants. Le lait produit
devient donc un bouillon de polluants, de métaux lourds, de pesticides,
sans compter l'ajout à outrance d'antibiotiques, vaccins ou Thymerosal
(mercure), hormones auxquelles viennent encore s'ajouter de nouvelles
farines animales provenant d'animaux sur-vaccinés. Par la synergie de ces
aliments, les effets du ce breuvage sont totalement toxiques pour notre
organisme.
Chiffres du Dr. MELLET, épidémiologiste
:
Pendant des années, la production
mondiale de mercure a atteint le chiffre annuel
phénoménal de 10'000 tonnes de mercure , comme il a été recensé en 1970,
soit près de 27,4 tonnes jour !
Face aux problèmes de santé publique de
plus en plus nombreux, la production mondiale de mercure s'est abaissée à
2'000 tonnes en l'an 2000, soit encore près de 5,5 tonnes par jour
!...
Le lait et les
troubles mentaux
Selon plusieurs scientifiques, le
lait industriel serait la cause insoupçonnée de nombreuses pathologies
neurologiques mais aussi digestives. Des tests existent pour mesurer
notre degré d’intoxication et libérer nos organes nettoyeurs.
Ayant traversé bien des époques, le lait demeure aujourd’hui l’un des
aliments les plus anciens de notre consommation, le plus présent dans le
quotidien de nos pays occidentaux. Boissons lactées, yaourts, fromages,
beurres, crèmes, pâtisseries en tout genre…vous n’avez que l’embarras du
choix : aucune excuse pour ne pas remplir votre
chariot !
Jusqu’à présent le lait était réputé riche
en protéines, en acides aminés essentiels, en vitamines A, B, D et source
incontournable de calcium. On en a fait le compagnon indispensable de
l’alimentation équilibrée.
Et
pourtant…
Aliment vital par excellence ? Et
pourtant, un nombre croissant de chercheurs, nutritionnistes, thérapeutes
osent remettre en cause les « bienfaits » du lait.
Nombreux sont ceux qui souffrent de troubles digestifs, de pathologies
physiques et troubles mentaux… conséquences d’une consommation abusive de
produits laitiers.
Simples coïncidences, dirons-nous,
rumeurs infondées… ou bien manipulations excessives des firmes
agro-alimentaires ?
Pourquoi assistons-nous à une
explosion fulgurante du nombre d’intolérants au lait ? En
quoi le lait est-il devenu nocif pour la santé ? Quel rôle
joue-t-il dans l’apparition des troubles physiques et mentaux ?
L’intolérance au lait concerne 75 % de la population
mondiale ! Pourquoi l’homme ne parvient-il plus à digérer
le lait ?
Problèmes d’assimilation
Au fil du temps, le lait est devenu incompatible avec le système
enzymatique humain bien que notre corps fasse son maximum pour
l’assimiler.
Et pour cause…Les excessives manipulations du
secteur agro-alimentaire le rendent inassimilable par le métabolisme
humain et en surplus, toujours fidèles au poste car toujours présents
dans notre organisme, nous retrouvons encore les métaux traces
toxiques : ce fameux trio mercure, cadmium,
plomb.
Une source inépuisable de toxiques
Voici encore une preuve de la toxicité du lait par ce fameux
trio :
Le lait devient un véritable bouillon de
toxiques en tout genre : il peut apporter jusqu’à 14 % de
l’apport alimentaire en plomb, soit 13,5 à 84 mg / l, suivi de
près par le cadmium (9 mg / l) et le mercure (5
mg / l) !
Un véritable problème se pose
donc pour nos nourrissons et nos enfants, gros consommateurs de produits
laitiers. C’est la raison pour laquelle le Conseil supérieur d’hygiène
publique de France proposait qu’une valeur limite de
50 μg / l de plomb soit imposée à tout produit
lacté ! C’était en 1996. On l’attend toujours… (Travaux du
professeur Maurice Rabache : les toxiques alimentaires.)
Prenons tout simplement l’exemple du mercure : nous le
retrouvons, entre autres, sous forme de vapeurs provenant des amalgames
dentaires, mais aussi sous forme de conservateurs dans les vaccins
(thyomersal ou thimerosal) ; cela cause de graves altérations des
parois de l’intestin et du cerveau et de dramatiques dégâts et blocages du
système enzymatique.
Finalement, ce redoutable poison
termine son parcours en se fixant dans divers tissus et organes.
A cet effet, nos organes vitaux intoxiqués (tels que le foie)
tentent, par tous les moyens, de se libérer de ces diverses toxines et
cela malgré une consommation journalière d’aliments indésirables dont
font partie les produits laitiers.
En effet, le
lait inhibe la libre excrétion des toxiques tels que le mercure
(travaux du professeur Boyd Haley). Les organes nettoyeurs, trop
fatigués, débordés, laissent ainsi installer des pathologies qui, selon
l’individu, apparaîtront sous différentes formes, en premier lieu dans
l’intestin, à divers moments de leur vie.
Les parois
intestinales abîmées vont permettre aux peptides morphiniques mal
découpés des produits laitiers, de même qu’aux opioïdes du gluten,
de passer librement dans le torrent sanguin et de
s’accumuler dans les divers organes. Pour les personnes qui ont subi en
outre les conséquences d’une altération de la barrière hémato-encéphalite
(ensemble des cellules nerveuses constitutives de la glia, la barrière du
cerveau), ces peptides vont perturber le système électrique du
cerveau.
Et c’est ainsi que les maladies
psychiques, à cause d’un mauvais découpage des peptides, pointent leur
nez. (Travaux du Professeur Karl Reichelt.)
Parmi les
troubles psychiques et mentaux, nous retrouvons :
-
les troubles de la mémoire et de la concentration -
l’hypoactivité - la mélancolie - la dépression
- les divers syndromes autistiques - une insensibilité à
la douleur - l’automutilation - l’anorexie et la
boulimie - l’épilepsie pharmacorésistante
En
effet, de telles casomorphines ont été retrouvées en quantité importante
dans les urines de ces sujets. (Travaux des professeurs Andrea Pelliccia,
Italie, et Karl Reichelt, Norvège.)
Une analyse
urinaire
Ces troubles peuvent être décelés par une
simple analyse urinaire peu coûteuse,
la peptidurie, mise en lumière par le professeur Karl Reichelt après
des années de recherche à l’hôpital universitaire d’Oslo. Celle-ci nous
permettra de repérer les morphines et de les quantifier, elles qui
perturbent l’activité électrique du cerveau et qui sont responsables de
tout ce cortège de pathologies psychiatriques.
Un test pour détecter l’intolérance au lait
Pour les personnes qui souffrent davantage de
failles du système enzymatique, le lait est également une source de graves
pathologies physiques. Le lait dégrade, entre autres, la paroi
intestinale (destruction du collagène) et inhibe certaines enzymes et en
particulier la peptidase PP4, seule enzyme digestive capable de digérer
la caséine, une des molécules du lait qui, de surcroît, est modifiée par
la cuisson. Ces protéines ne sont donc pas complètement dégradées.
(Travaux du professeur Boyd Haley, Etats-Unis.)
Et c’est
ainsi que s’installe l’intolérance alimentaire. Pernicieuse et
silencieuse, sans réaction immunitaire immédiate, elle laisse, par
accumulation, libre cours au développement de toute une
« ribambelle » de troubles physiques. Ainsi, apparaissent des
maladies qui peuvent sembler banales mais qui, avec le temps, vont
devenir chroniques et graves telles que :
- troubles
du poids - maux de tête, encéphalites chroniques -
croûte de lait, muguet et diarrhées du nourrisson - problèmes
ORL (sinusites, bronchites, rhinites, otites, asthme) -
troubles de la vision, dont strabisme et conjonctivites -
troubles de la peau (dermatoses, eczéma, acné juvénile) -
maladies inflammatoires et rhumatismales (arthrose, arthrites)
- fibromyalgie - spasmophilie - fatigue
chronique
Chez les enfants et les adultes, la fréquence de
la consommation des produits laitiers est aussi incriminée pour
déclencher diverses allergies.
Le lait est également à
incriminer dans le problème du diabète de type 1. Il est de même
responsable du déclenchement de l’ostéoporose que, logiquement, il serait
censé prévenir ! Le lait en serait même un facteur favorisant.
(Travaux du Dr C. Campbell.)
Il est possible de détecter
l’intolérance au lait, au gluten et à bien d’autres aliments encore grâce
à une analyse biochimique telle que le Cyto-Aliments-Test.
Détoxifions
nos organes
Ces deux merveilleuses analyses, la
peptidurie, précédemment évoquée, et le Cyto-Aliments-Test, nous
permettent d’éclairer ces divers mécanismes malheureusement encore
méconnus par certains professionnels de la santé.
Interprétés de façon individuelle et personnalisée par les
nutritionnistes détoxicologues, elles nous permettront de stopper les
accumulations dans les différents organes, de les libérer et donc de
constater, avec le temps, l’amélioration constante des pathologies, même
les plus lourdes.
Pour conclure, observons plutôt nos
voisins asiatiques : ils ne consomment presque pas de produits
laitiers, sans conséquences apparentes sur leur santé ; le Japon
détient même le record mondial de longévité. |