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De nouvelles substances peuvent être utiles avec une douleur chronique
Une combinaison sélective tue les neurones qui produisent les messages de la douleur
Par Kurt Ullman, RN
WebMD Medical News
Le 18 novembre 1999 (Indianapolis) -- Des traitements courants pour la douleur chronique peuvent être inefficaces ou peuvent avoir des effets secondaires non souhaités. La recherche avec les rats, publiée dans le Journal Science du 19 novembre, montre que la douleur peut être soulagée par l'utilisation de "bombes intelligentes" qui ciblent et détruisent seulement les cellules nerveuses qui envoient les messages de la douleur au cerveau.
La douleur chronique apparaît être le résultat de signaux générés par un petit groupe de cellules nerveuses, ou de neurones, dans la colonne vertébrale. Elles communiquent l'une avec l'autre utilisant un messager commun comme la Substance P (SP). Quand SP est reliée avec le récepteur, la molécule complète est "absorbée" et prise dans un neurone. Les chercheurs ont pris avantage de cela en joignant une chimie active qui tue les neurones, une neurotoxine, au SP et l'ayant amalgamé dans la cellule.
Il dit: "Des méthodes courantes de traitement pour la douleur chronique ont des effets secondaires majeurs tel que la somnolence apportée par les médicaments ou la perte de sensations si les nerfs sont coupés", auteur Patrick W. Mantyh, PhD, de l'Université du Minnesota et du Minneapolis Veterans Affairs Medical Center. C'est ce qu'il dit à WebMD dans une entrevue. Il dit qu'en utilisant SP pour introduire une neurotoxine, nous permet spécifiquement de viser les neurones qui causent la douleur pendant qu'elles laissent encore une sensibilité, le toucher et d'autres neurones intacts. Ceci veut dire que l'animal peut encore sentir une petite douleur, le toucher et d'autres énergies qui servent comme des avertissements des dangers dans l'environnement".
Une combinaison de SP et de toxines a été introduite dans la colonne vertébrale des rats. Trente jours plus tard, il y avait du dommage seulement au sujet des neurones qui ont eu les récepteurs du SP (SPR). Pour trouver si cette combinaison a fonctionné pour bloquer la douleur dans les comportements des animaux, on leur a donné "capsaicin", l'ingrédient actif des pulvérisations au poivre utilisées comme légitime défense. Trente jours après avoir reçu la SP/l'infusion à la toxine, il y avait une diminution dans les comportements de douleur provoquée, tel que le mastiquement sur la région douloureuse. Les chercheurs ont noté que ce traitement n'interférait pas avec l'action de la morphine et d'autres médications de la classe d'un opiacée, voulant dire qu'ils étaient encore disponibles pour les médecins dans le traitement de douleurs mineures.
Mantyh dit: "Si davantage de recherches prouvent que ce concept fonctionne chez les humains, ce serait probablement réservé en premier pour une douleur très sévère tel que les cancers". "La prochaine étape de la recherche serait de trouver des substances qui peuvent être combinées avec la SP (substance P), mais qui ne tuent pas les neurones. Si vous pouviez bloquer la douleur sans effet à long terme vu avec la SP-SAP [SP/toxine], ça permettrait le traitement de plusieurs sortes de douleur".
Rollin Gallagher, MD, directeur de la médication pour la douleur au MCP/Hahnemann University in Philadelphia, pense que cela peut potentiellement être un avancement majeur dans le traitement des états de douleur chronique. On suggère que vous pouvez être très spécifique en diminuant la douleur sans influencer la sensibilité normale d'une blessure possible comme d'autres traitements peuvent le faire.
"Ceci peut nous donner une méthode de se débarrasser d'une douleur chronique sans interférer avec la sorte des récepteurs de la douleur qui vous font savoir que quelque chose est sur votre pied, ou votre main est trop proche du feu", Gallagher dit, lui qui n'était pas impliqué dans cette étude. "Une des promesses est que vous pouvez utiliser des opiacées de temps en temps pour la découverte de la douleur. Ainsi, ça ne prend pas juste soin de la douleur chronique, mais actuellement laissons les médecins utiliser d'autres médications plus efficaces quand il y a un besoin".
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Traduit par: Louise Rochette
Email: LouiseRochette@gmail.com